Les vagabonds sans trêves
Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
Retour sur The Price of The Ticket avec Karen Thorsen et Samuel Légitimus
James Baldwin, l'être-lien (2/2) Retour au musée de l'Homme de Paris pour la seconde partie de l'article (première partie ici) sur la projection du film documentaire The Price of the Ticket, suivie...
Autour de The Price of the Ticket avec Karen Thorsen et Samuel Légitimus
James Baldwin, l'être-lien (1/2) Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, samedi 3 juin 2017, j’étais à Paris pour une séance de rattrapage, ayant raté, la projection au cinéma Galeries,...
Partout d’Andrée Chédid
Me voici barque friable Mais aussi granit où butent les hivers. Me voici âme aux abois Mais aussi cœur qui absorbe le monde. Me voici en aile-libre Mais aussi nid-de-chair. Me voici affrétant toutes...
La Sonate à Bridgetower d’Emmanuel Dongala
De l'apparition romanesque du dédicataire fantôme Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, sept ans après Photo de groupe au bord du fleuve, Emmanuel Dongola publie La Sonate à...
Sur le bord de l’inaperçu de Michel Guillou
Une histoire ailleurs ou presque Les adjectifs pyromanes « Il existe ici des adjectifs pyromanes. Un fil de braise les habitent, que rien n'éteint. Ils prennent un malin plaisir, un plaisir chafouin...
Le pardon de Constance-Marie de Salm-Dyck
Le pardon Jeunes beautés qu'Amour enflamme, Jeunes beautés, écoutez-moi ; Craignez d'abandonner votre âme À l'homme dont vous suivez la loi : Source de joie et de tristesse, C'est un ingrat, c'est...
Le muguet de Robert Desnos
Le muguet Un bouquet de muguet, Deux bouquets de muguet, Au guet ! Au guet ! Mes amis, il m’en souviendrait, Chaque printemps au premier mai. Trois bouquets de muguet, Gai ! gai ! Au premier mai,...
Confessions d’une Sardine sans tête de Guy Alexandre Sounda
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Gombo et le reste… sans jamais oser l’imaginer Qui cherche à approcher la vérité d’une cellule familiale, doit interroger l’enfant ou le fou. Dans...
Natasha Kanapé Fontaine : de l’affirmation innue à la réconciliation de tous
Incandescences poétiques de la voix debout Mon peuple est un peuple de nuages nous ne pelletons pas l’hiver la neige nous élève en être insurgés raquettes aux pieds, joues saillantes miel de sapins...
Lis Thés Ratures : espace passionnément lettres afro
Une heureuse combinaison de librairie-salon de thé et d'espace de coworking Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, l'espace Lis Thés Ratures est la découverte épatante du début mars....
Piliers Sacrés de Maud Deschamps
La verticalité du Nu selon l'artiste peintre Maud Deschamps Pour terminer un mois de mars que le blog a consacré aux femmes, je reviens sur l'exposition de Maud Descamps intitulée Piliers sacrés qui...
Éros au féminin au Poème 2 à Bruxelles
journée internationale des femmes Au théâtre poème Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, le 8 mars, le Poème 2 ou Théâtre Poème proposait une soirée sur la thématique de l'amour, du...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes
Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique
Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer
Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs
Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque
Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée
Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole