Les vagabonds sans trêves

Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
#Jenaipasportéplainte de Marie-Hélène Branciard
Les filles, que la force vengeresse soit avec vous ! Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, #Jenaipasportéplainte de Marie-Hélène Branciard, publié aux Éditions du Poutan, en 2016,...
Autour de L’escargot d’Alexandre Toursky
L'escargot L’escargot se déplacedans une continuecréation de son corpss’invente et se rejoint. Il glisse avec aisancedans le tunnel sans finde son identité.On le dit peu rapide, sans voir que le...
La cérémonie de remise du Prix Éthiophile 2017 attribué à Guy Alexandre Sounda
L’association Éthiophile a décerné son prix littéraire, le 30 octobre, au Procope Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, présenté « avec une réelle émotion, mais sans solennité »...
Lis Thés Ratures organise un salon de la littérature
Invitation à salonner au milieu du Beau monde Lis Thés Ratures ? C'est la structure culturelle au sud-ouest de Paris, dont Les vagabonds sans trêves ont applaudi, en début d’année, la naissance...
Le Sabot revue littéraire de sabotage
Parution du premier numéro Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, c’est chez l’écrivain Marcel Moreau que j’ai fait la connaissance d’Antoine Jobard, le rédacteur en chef d’un tout...
L’Automne de Renée Vivien
L'automne L’Automne s’exaspère ainsi qu’une Bacchante, Folle du sang des fruits et du sang des baisers Et dont on voit frémir les seins inapaisés… L’Automne s’assombrit ainsi qu’une Bacchante Au...
Frères migrants de Patrick Chamoiseau
La poétique relationnelle et les lucioles-veilleuses de vie solidaire Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, avec Frères migrants, l’écrivain martiniquais Patrick Chamoiseau exhorte...
La petite sirène d’Andersen ou la tentation de la sublimité
L'infini idéal de la petite sirène « Enfin tu as bien fait de venir ; demain, au lever du soleil, c’eût été trop tard, et il t’aurait fallu attendre encore une année. Je vais te préparer un élixir...
La migration des murs de James Noël
La poésie à l’épreuve des murs Publié chez Galaade, dans la collection Auteur de vue, le recueil La migration des murs de James Noël est une œuvre protéiforme, sans point et sans fin comme le règne...
Pâques à Paris éclairé par la poésie Guillaume Apollinaire
La belle dame fée et le pont Mirabeau Cher tout le monde, femme, hommes et tant d'autre, depuis l'enfance, le pont Mirabeau – tant la construction que la poésie du même nom – m'est cher. Voici...
Toutes les femmes sont des aliens d’Olivia Rosenthal
Suivons les lumières de la plume ouvreuse Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, Toutes les femmes sont des aliens, est un le texte hybride d’Olivia Rosenthal, né d’un projet théâtral...
Plus c’était un baiser de Paul Éluard
Plus c’était un baiser Plus c’était un baiser Moins les mains sur les yeux Les halos de lumière Aux lèvres de l’horizon Et des tourbillons de sang Qui se livraient au silence. Plus c’était un...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien

Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes

Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique

Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer

Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs

Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque

Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée

Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole