Les vagabonds sans trêves
Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
Quand ma mère devenait Bérénice de Racine
Un chef-d'œuvre de comédienne inconnue Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, voici les dernières pages du roman autobiographique intitulée Les fictions schizoriginelles. Il s'agit...
J’ai la chance d’avoir le physique parfait pour les entretiens d’embauche : décryptage par Astérie Mukarwebeya
Du malaise des uns et des autres qui est ni uniforme ni monolithique Les vagabonds sans trêves : Merci Astérie Mukarwebeya d’avoir accepté l’exercice de décryptage de la situation suivante : à une...
L’Après-midi d’un faune
Autour de L'après-midi d'un faune : églogue de Stéphane Mallarmé LE FAVNE Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair, Leur incarnat léger, qu’il voltige dans l’air Assoupi de sommeils touffus....
Véronique Essaka-De Kerpel et l’imaginaire ouvert de la compagnie Volubilis
Écrire, jouer, mettre en scène la richesse humaine Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, il y a quelques jours, j'ai mis en ligne la première partie de l'interview de Véronique...
Le Cœur révélateur d’Edgar Allan Poe
Le Cœur révélateur, The Tell-Tale Heart – traduction Charles Baudelaire « Quand j’eus attendu un long temps, très patiemment, sans l’entendre se recoucher, je me résolus à entr’ouvrir un peu la...
Les chroniques de Simon Soul de Jack Exily
Contour d’une perspective résistante sur l’actualité Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, il y a un petit temps, le hasard a bien fait les choses, dans l’espace culturel Lis Thés...
Une gravure fantastique de Charles Baudelaire
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, en ce premier novembre, jour de la Toussaint et veille de la fête des morts, je vous propose Une gravure fantastique du poète française Charles...
L’esprit inspiré de la rencontre de Véronique Essaka-De Kerpel
Invitation au théâtre-monde de la compagnie Volubilis Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, lors de la remise du Prix Éthiophile, j'ai fait la connaissance de la dramaturge,...
Allégorie d’un exil intérieur de Guy Alexandre Sounda
Le cas de Fabius Mortimer Bartoza, antihéros du roman Confessions d’une sardine sans tête Exposé de Guy Alexandre Souda présenté lors de la journée d’études tératologiques, intitulée Indiscipline...
Ta façon d’écrire n’est pas très représentative des Noirs : décryptage par Samuel Légitimus
Du concernement au monde plus intense des cultures noires Les vagabonds sans trêves : Merci Samuel Légitimus d’avoir accepté l’exercice de décryptage de cette parole : ta façon d’écrire n’est pas...
Un nouveau monde. Poésies en France 1960-2010
Une fresque de la quête poétique par Yves di Manno & Isabelle Garron Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, il est dit sur le site de Flammarion que l’anthologie vient combler...
Tu n’es pas une Noire comme les autres : décryptage par Guy Alexandre Sounda
Du mérite de l’aller-retour Les vagabonds sans trêves : Guy Alexandre Sounda, merci d’avoir accepté d’être notre vagabond expert et de vous prêter à l’exercice d’analyse des paroles suivantes : Tu...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes
Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique
Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer
Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs
Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque
Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée
Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole