Les vagabonds sans trêves
Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
Interview d’Antoine Jobard pour la sortie du numéro 4 du Sabot
À grands coups de Sabot dans la fourmilière du travail Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, à l’occasion de la parution du dernier numéro du Sabot, j’ai revu, à Paris, Antoine...
Interview d’Adriana Bito, fondatrice d’Honesty
De l’ingénierie de la paix Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, en octobre 2017, à Saint-Denis, lors d’une journée autour d’Ouvrir la voix d’Amandine Gay (lire ici), j’ai rencontré...
Histoire de la mer de Jean Cayrol
Géraldine au gré des courants de traverses Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, depuis l’âge de dix-neuf ans où le conte m’a été offert, parfois, les heures saturniennes de cœur...
Cantique de l’acacia de Kossi Efoui
l'inspiration femme forgeant le sens poète Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, en célébrant la résistance des femmes aux oppressions sociopolitiques, Cantique de l’acacia, le...
Interview de Benoit d’Afrique
De la poésie en revue et en recueillement Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, c'est, en mars dernier, au Salon du livre de Paris, que j'ai fait la connaissance du poète haïtien...
Entretien avec Jack Exily sur Les chroniques de Simon Soul #2
Simon Soul, hors du commun et l’esprit libre Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, Les Chroniques de Simon Soul #2 vient de paraître en janvier 2018. Son créateur Jack Exily...
Interview de Colette Manirakiza, la coiffeuse multiculturelle
La voie du cheveux et de la sagesse Les vagabonds sans trêves : Merci Colette Manirakiza d’accepter l’exercice de décryptage de la situation suivante : quand j’étais petite, en primaire, je sentais...
Kossi Efoui : Il faut que les hommes disent leur souffrance de vivre dans la société patriarcale
De l'attention à la vulnérabilité de tous Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, c'est le 24 février 2018, dans le cadre de la Foire du livre de Bruxelles, que l'écrivain et dramaturge...
Maestros femmes d’aujourd’hui et d’hier
La direction d'orchestre : une passion s'accordant au féminin Cher tout le monde, femmes hommes et tant d’autres, pourquoi les femmes sont-elles rares dans la direction d’orchestre ? Parce que la...
Ardeur et vacuité de Nathalie Gassel
Vie et survie après la vie de la mère J’avais le choix entre une distraction sans joie et sans ardeur qui me permettait de fuir au dehors ou les émotions denses et pensantes du dedans. Mais rien qui...
Des folies et des odeurs dans toutes les couleurs
Sur la métaphore du moi et de l’altérité Les vagabonds sans trêves : Merci Guy Alexandre Sounda d’accorder, au blog Les vagabonds sans trêves, ce nouvel entretien. Lors du précédent échange (voir...
Al Capone le Malien de Sami Tchak
De la profondeur des apparences sans une parcelle de jardin secret Dans Al Capone le Malien, le septième roman de l’écrivain et essayiste Sami Tchak, le narrateur, René Chérin, un journaliste...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes
Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique
Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer
Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs
Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque
Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée
Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole