Les vagabonds sans trêves
Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
Vous parlez mal le français, mademoiselle
L'histoire des deux années en une à l'université — Vous parlez mal le français, mademoiselle ! Depuis quand êtes-vous en Belgique ? Celui qui prononce ces mots est un professeur de la fac de...
Vagabond sans trêves de Benoit d’Afrique
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, je suis émue de vous faire découvrir une poésie inédite de Benoit d'Afrique accompagnée d'une œuvre originale de Coralie Gracienne. Il s'agit,...
Le suiveur
Souvenir d'enfance Un homme nous suit. Un des premiers souvenirs de mon arrivée en Belgique. Souvent, sur le chemin de l’école, de la bibliothèque, de la poste, jusque dans les rayons du supermarché...
Le racisme est un virus par Dany Laferrière de l’Académie française
LE RACISME EST UN VIRUS Bon, soyons clair, le racisme naît, vit et pourrait même mourir un jour. Il est contagieux, et se transmet d’un être humain à un autre. Toutefois sa rapidité de contagion...
Lire pour se sentir exister justement
Vivre l'ivre passion livre Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, janvier, mois des vœux et des bonnes résolutions. Avec les souhaits de bonne santé et de joie de vivre inséparable de...
Interview de Stéphane Martelly autour du potomitan
Sur la condition féminine en Haïti Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le 20 juin 2109, au Collège de France, l’écrivaine, peintre et professeure haïtienne Stéphane Martelly...
Interview d’Aude Lespagnard, artiste belge et personne adoptée sud-coréenne
Sur la dimension coloniale de l'adoption internationale Les vagabonds sans trêves : Bonjour Aude Lespagnard, je vous remercie de tout cœur d'avoir accepté cet entretien sur un sujet aussi personnel,...
Interview de Jack Exily, créateur du personnage de Simon Soul
Simon Soul #3 : Mezcla – Les Chroniques vraies Les vagabonds sans trêves : Ravie de vous revoir Jack Exily pour ce troisième entretien (1re interview ici et 2ème ici). Ce qui m’a frappé dans votre...
Les vagabonds sans trêves à nouveau sur la route
Où il importe d'apprendre du papillon Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, qu'ils ont été longs ces mois de pause ! Pour des raisons de santé. Un problème d'hypothyroïdie,...
La douceur du temps de Sébastien Quagebeur
Contre la météo marâtre Je suis la douceur du temps... Je suis la douceur du temps qui s'écoule. Je suis ce sable dans le sablier. Je suis le sablier qu'on retourne. Je suis la douceur du temps....
La route 2019 sur le signe de la persévérance
Vertu des lucioles d’Aimé Césaire Ne pas désespérer des lucioles je reconnais là la vertu. les attendre les poursuivre les guetter encore. le rêve n’est pas de les fixer flambeaux ni qu’elles se...
Interview de Véronique Essaka-De Kerpel
Écrire sur la libération des femmes et la construction de l'altérité négative Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, souvenez-vous, l’automne passé, la dramaturge, comédienne, metteure...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes
Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique
Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer
Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs
Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque
Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée
Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole